Le procureur spécial Mr Jack Smith a fait des investigations sur les efforts de l’ancien président à compromettre les résultats des élections présidentielles en 2020. Dans la capitale des États-Unis, Washington, il faut noter que les services de sécurité ont une organisation angélique.
A 22 heures de Paris, Donal Trump doit répondre présent devant le tribunal fédéral de Washington pour son implication dans l’assaut du capitole. C’est ce même tribunal qui juge souvent la plupart des personnes poursuivies pour leurs implications dans l’assaut du capitole à la date de 06 janvier 2021; le site est directement lié à l’endroit de l’attaque.
En réalité, il faut préciser que les différents services de sécurité, les services de la ville, et même ceux du capitole ainsi que les services secrets qui couvrent Donal Trump détiennent une coordination digne du nom. Ces services ne font pas souvent le compte des menaces spécifiques effectuées. C’est un état de chose qui n’encourage pas. Il y aura certainement des manifestants anti-trump. La ville de Washington adore un vote purement démocratique. La police de la ville déclare que l’événement va régorger énormément de blocus.
A en croire, ceci est la troisième inculpation pénale de l’ancien président au tribunal. Cette fois-ci, son dossier criminel sera ouvert et connu de tous. Tous les renseignements ont été pris sur lui. En effet, comme tout autre criminel, il répondra de ses actes devant la magistrate qui sera chargée de lui notifier les quatre chefs d’inculpation. Normalement, Donal Trump devrait être plaidé non coupable dans les deux affaires précédentes ; celle de Stormy Daniels à New York et le dossier des documents classifiés en Floride. Il pourrait être permis d’aller faire sa préparation aux élections présidentielles de 2024. Malheureusement pour lui, le sort a désigné la juge Tanya Chukta pour conduire le procès. Cette juge qui a particulièrement montré sa sévérité jusqu’à notifier les émeutiers du 06 janvier. A vrai dire, il faut marteler que la juge n’a omis aucune faute commise par L’ex-président. Elle a même ressorti les actions de la commission spéciale de la chambre des ressortissants quand elle cherchait à mettre la main sur les « les archives de la maison blanche ». La juge a insisté sur les faits très remarquables. Elle a fait comprendre à l’ancien président que les « présidents ne sont pas des rois.
Selon Olivier Knox, journaliste politique au quotidien Washington Post et responsable de la Newsletter 202 Daily, les procédures juridiques<< ne vont pas beaucoup jouer en elles-mêmes dans les primaires mais cela coûter extrêmement cher à Donald Trump>> pour <<se défendre>> et cela << peut lui nuire parce que cela coûte très cher d’être candidat à la présidence>>, analyse-t-il dans un entretien à notre correspondant à Washington, Guillaume Naudin.
Cette troisième inculpation doit être considérée comme une habitude de la part de l’ancien président puisque c’est répétitif. Il a été inculpé pour ce qu’il a fait en tant que président. Toutes les autres inculpations, c’est après la présidence. Nous avons par exemple le vol des documents secrets, confidentiels et classifiés. Nous pouvons classer cette habitude comme une tentative du renversement des élections par la violence.
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