« Que Dieu m’aide à me remarier, Marcello. Oui, je le dis partout car je n’ai pas reçu le don du célibat et je ne vais pas tarder dans le célibat », a-t-il déclaré, suscitant une vague d’indignation sur les réseaux sociaux.
Les réactions ne se sont pas fait attendre. Alors que certains saluent son honnêteté et sa transparence, d’autres, en particulier de nombreuses femmes, lui reprochent de vouloir tourner la page trop rapidement. Les critiques se multiplient, accusant le pasteur de manquer de sagesse et de respect envers la mémoire de sa défunte épouse. Cette déclaration contraste fortement avec ses précédentes prédications où il affirmait qu’il resterait célibataire si sa femme venait à disparaître.
Ce débat autour du remariage de Marcello Tunasi révèle les tensions entre les convictions religieuses et les réalités humaines. La société congolaise, profondément ancrée dans ses valeurs traditionnelles et religieuses, se retrouve divisée face à cette situation inédite. Le choix du pasteur relance le débat sur les attentes imposées aux leaders religieux et la manière dont ils gèrent leurs deuils personnels.