Retrouvée sur les réseaux sociaux un matin ,une vidéo plus que sextap montrant trois garçons et une jeune fille béninoise qui s’approprient d’un acte qualifiant de *partouzes* par les internautes. Selon les rumeurs, et les démentis apportés par une prétendue grande sœur de la jeune fille, elle aurait perçu une somme de quinze mille ( 15.000) en contrepartie après les actes dans une seconde vidéo publiée sur les réseaux au lendemain de la fuite de ladite vidéo sextap.
Dans la vidéo qui apporte les démentis, la jeune fille s’explique » qu’elle ne savait pas que les gars la filmaient en plein ébat sexuel ». Elle poursuit tout en précisant que « c’est après, elle s’est rendue compte de cela et les avait interdits de prendre sa vidéo tout en prenant soin de prendre le portable et supprimer toutes les vidéos mais comme c’est un iphone, les vidéos sont rentrées dans corbeille »
Mais force est de constater que d’autres vidéos similaires polluent en ce moment la toile béninoise, plus que chougra , les réseaux sociaux se verront ravifier pendant encore des jours.
Quels sont les palliatifs juridiques prévus à cet effet ?
La loi sur le numérique au Bénin punit sévèrement tout acte immoral qui touche à la dignité par les canaux digitaux ou électroniques sans consentement de l’un des auteurs. Nous espérons la réaction du gouvernement à cet effet.
Paul Houeda