
Le Gabon est l’un des pays africains qui promeut vigoureusement la pratique de l’homosexualité. Cette pratique qui va à l’encontre des us et coutumes locales est branlée afin de mieux bénéficier des avantages du Commonwealth selon la population.
En effet, les autorités gabonaises sont décidées à promouvoir quoi qu’il en coûte l’homosexualité. Ce qui les pousse à introduire son enseignement au pré-primaire. Ce programme vise selon les institutions en rapport avec l’éducation des enfants, à inculquer aux enfants une éducation à la santé et au bien-être notamment en matière de : « compétences de vie et les stratégies pour construire des amitiés saines, prévenir le harcèlement et la violence et être préparé à la puberté. »
C’est la goutte de trop. Les gabonais qui ne concevaient pas cette idéologie se manifestent en s’opposant vigoureusement à cette décision à travers des débats sulfureux. La cible définie est selon eux une catégorie d’êtres vulnérables. Des enfants de moins de trois ans pour la plupart. Ces derniers seront atteints psychologiquement et grandiront avec cette conception de la vie sexuelle qui n’est pas la plus idoine. Ils grandiront en développant ces pulsions et peuvent même les extérioriser pour en faire des orientations sexuelles.
Le prophète gabonais Béni Ngoua Mbina condamne cette pratique en la qualifiant de : «Coup d’État culturel. ». Comme le dit un parent d’élèves, Andréa Pemba sur les réseaux sociaux : « L’homme a un seul organe sexuel et de reproduction. La femme a un seul organe sexuel et de reproduction. L’anus n’est ni un organe sexuel ni un organe de reproduction. Le rôle de l’anus est d’évacuer les matières fécales. Osons dire non, non et non à l’homosexualité dans nos écoles au Gabon. » Pour d’autres parents : «L’école est censée éduquer, former, transmettre la connaissance et les vraies valeurs et non promouvoir la dépravation des mœurs. »
L’homosexualité étant mal perçue en Afrique, elle est considérée comme un acte impensable, répugnant et contraire au métabolisme culturel. C’est pourquoi, dans une vidéo où on voit le président Français, Emmanuel Macron parler de l’homosexualité avec les enfants et les amener à normaliser ce fait, la petite fille noire qui figurait dans le public a eu une réaction contraire à celle des autres enfants blancs. Ce n’est pas l’éducation qu’elle a reçu.
Pendant que les gabonais accusaient l’UNESCO de cette décision de l’instruction de l’homosexualité dans le système éducatif, l’UNESCO lève la voile ce 20 juin à travers un communiqué en rejetant subtilement cette accusation. Peut-on lire : « Soutenir l’éducation au sein des États membres dans le respect des valeurs socio-culturelles et religieuses : une priorité pour l’UNESCO. » Plus loin, il ajoute : « Il appartient à chaque État membre, en toute souveraineté, d’opérer des ajustements ou améliorations nécessaires dans les programmes scolaires. »
Le Gabon devient un pays qui accepte tout ce qui vient de l’extérieur et devient l’un des pays les plus acculturés de l’Afrique selon ses habitants. Il est un pays qui se veut être une représentation parfaite du colonisé comme l’illustrait Frantz Fanon dans Peau noire, masque blanc : « le colonisé finit par intégrer ces discours de stigmatisation, le sentiment d’être inférieur, il finit par mépriser sa culture, sa langue, son peuple, il ne veut plus alors qu’imiter, ressembler au colonisateur. »
Les populations continuent de crier au Gabon contre la légalisation de l’homosexualité
Salomé Houénafa KOHOUGBLA (s
tagiaire)
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